Arrivés à Lençois, éreintés, les pieds douloureux, fiers de nous, couverts de coup de soleil, on mange notre dernier açaï…
Après six heures de bus, nous arrivons le soir à Lençois. Deux mecs nous proposent un hôtel pas cher de type bungalow avec cuisine et salle de bain : c’est parfait. On se trouve dans le jardin de l’un deux, qui est guide indépendant et nous donnera de précieux conseils pour nos randos en solo.READ MORE
On apprend à ouvrir une noix de coco ramassée au pied d’un palmier à l’aide d’une pierre. C’est du boulot !
Au petit matin, on embarque en bateau à Capurgana, un petit village tout à l’ouest de la Colombie, à quelques kilomètres du Panama. On tombe amoureux de l’ambiance qui règne au village et de la mer caraïbe, si douce et si belle. READ MORE
Il parle plutôt d’agroforesterie que de reforestation, ce qui nous étonne. On comprend que son but est d’abord social ; en aidant les agriculteurs à exploiter au mieux leurs terres, grâce à des arbres fruitiers et des arbres de coupe, il cherche avant tout à les faire mieux vivre.
Arrivés à Tena, on s’installe au Welcome break, auberge familiale tranquille avec hamacs et cuisine. On boit un coup sur le malecon, la promenade qui longe la rivière où les jeunes on l’habitude de retrouver. On rencontre Ilver et Javier, deux frères Kitchwas.READ MORE
la vue là-haut est splendide. Il nous faut cinq minutes pour retrouver nos esprits et en profiter. On voit le Titicaca et donc le Pérou à 300 km !
Installés à l’hostel Solario de La Paz, on rencontre Pierrot et Nico avec qui on organise notre expédition de 3 jours en haut du Huayna Potosi avec l’agence Travel Track qui se révèlera un très bon choix.
On quitte La Paz en minibus et après 1 heure 30 de route, on arrive au Refugio Barro, à 4 800 m. On part marcher jusqu’à un glacier pour s’essayer aux crampons et on escalade même une cascade de glace à l’aide des piolets. READ MORE
On rencontre une Japonaise sur la scène Chill Out. Son mari est DJ et elle l’accompagne autour du monde, dans un voyage qui semble perpétuel.
Notre bus arrive au terminal de Cusco à quatre heures du matin après avoir passé la frontière péruvienne et de nombreux dos d’âne. On prend une chambre miteuse à deux pas du terminal pour se reposer jusqu’au matin, puis on rejoint vite Morgan et Marielle à leur hôtel Mama Cusco. On découvre les rues de la ville en pleine effervescence pour l’Intyrami. C’est avant tout le solstice d’hiver et la plus grande fête de l’année pour les habitants qui défilent, chantent et dansent pendant plusieurs jours. Mais pour nous, ce sera plutôt l’Intyrami Sun Fest, un festival de musique transe/techno dans la vallée sacrée à deux heures de Cusco.READ MORE
un grand terrain entouré par les montagnes, qui abrite une belle maison, un atelier, deux potagers, un poulailler, une étable, un bois… bref, tout ce qu’il nous faut.
On file vers El Bolson et c’est dans la voiture d’un avocat qu’on traverse pour la dernière fois la pampa en stop. Victor est aussi un grand amateur de reggae ! Une fois en ville, on se met à la recherche d’une ferme où passer quelques jours en attendant Maïa. A la feria (marché artisanal), on rencontre Eugénie et la chance nous sourit ! Elle nous propose de venir travailler le lendemain à la ferme du CIESA en échange de quelques légumes. READ MORE
un grand terrain entouré par les montagnes, qui abrite une belle maison, un atelier, deux potagers, un poulailler, une étable, un bois… bref, tout ce qu’il nous faut.
Sept kilomètres séparent le petit port où l’on débarque depuis L’argentine du village de Villa O’Higgins’, le point le plus au Sud de la Carreta Austral. Nous montons en voiture avec des gendarmes qui nous déposent gentiment au village ! Les rues sont désertes et on se rend compte qu’il nous sera impossible de retirer de l’argent ici…READ MORE